Le vol d’une œuvre d’art représente une perte financière lorsque l’œuvre n’est pas assurée contre le vol.
En tout état de cause, elle sera toujours une perte morale !
En Belgique, la recherche des œuvres volées ne constitue pas une priorité. Néanmoins, parfois une « Happy ending » peut survenir.
L’histoire se passe en France en 2011 à Ajaccio, lorsqu’un gardien du Musée Fesch vole 4 œuvres afin de faire pression sur la municipalité et d’influencer une décision qui le concernait directement. Le voleur s’est ensuite retrouvé le volé. Son larcin a été suivi d’un second vol ne permettant plus aux enquêteurs français d’avancer dans leur enquête. Ce sera au final un coup de fil anonyme qui solutionnera le problème en indiquant que les œuvres ont été déposées sur un parking dans les environs d’Ajaccio.
Depuis le 7 mai, les œuvres sont à nouveau exposées aux publiques.