Nous avions posté sur ce blog un article exposant un des cas où le défaut d’authenticité d’un objet d’art ou d’une antiquité était supporté par l’acheteur sans possibilité de recours.
Nous avions pris comme exemple le récent cas d'un acheteur d’une étoffe qui aurait été utilisée pour prélever le sang du Roi Louis XVI lors de son exécution.
Après analyse scientifique, il s’avère que, selon la presse spécialisée, le sang dont il est question ne serait effectivement pas celui du défunt Roi.
Dans le cas de la vente aux enchères, l’acheteur connaissait ce risque. Il n’y a donc pas, par exemple, de vices cachés qui auraient permis de tenter de faire annuler la vente. Pour plus de détail, reportez-vous à notre article à ce sujet :